Taxe sur les chiens et chats

Une taxe pour fiancer le déficit

Sur les réseaux sociaux et dans les médias, il est possible de lire l’idée d’une éventuelle taxe sur les chiens et les chats, tout comme en Allemagne. À une époque bien lointaine, en France, une taxe sur les vélos, les grattoirs et les marquises existaient.

En cas de mise en place d’une taxe sur les chiens et chats dans le pays, son seul objectif serait de combler le déficit créé par le gouvernement d’Emmanuel Macron et son ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Une taxe, non utilisé pour le bien-être animal.

En instaurant une telle taxe, il y a plusieurs aspects négatifs à l’encontre de l’animal et de son maître.

Une taxe symbolique pour le bien-être animal

Il serait évidemment envisageable de mettre en place une taxe symbolique sur les chiens et les chats, afin de pallier les lacunes en matière de justice animal.

En instaurant une taxe symbolique annuelle, il serait possible de mettre en place une brigade de gendarmerie animalière. Une taxe qui n’est pas contraignante pour les propriétaires.

Exemple :

• Pour ceux qui possède un chat ou un chien : 10€/an ;
• Pour deux animaux : 15€/an ;
• Pour quatre animaux : 20€/an
• Plus de quatre : 30€/an.

Étant propriétaire de trois chiens, je dépenserai 15€ par an pour soutenir, une brigade animalière, une véritable protection des animaux.

Les propriétaires de nouveaux animaux de compagnie, tels que les lapins, les furets, les reptiles, etc., bénéficient d’un forfait annuel de 10€ pour l’ensemble.

Voir aussi l’article : “Protection des animaux de compagnie“.

Une taxe à l’encontre du bien de l’animal

En instaurant une taxe excessive sur les chiens et les chats sur les budgets des propriétaires, il existe un risque accru d’abandon de chiens, et ce, non seulement pendant les vacances. De la même manière pour les chats, lors des déménagements et pour d’autres motifs insignifiants.

De la même manière, si la taxe est trop élevée, il est possible que nous ayons affaire à des animaux sous-alimentés et moins bien soignés, car les prix des aliments et des soins vétérinaires pour nos amis à quatre pattes ont considérablement augmenté.

Avec la mise en place d’une taxe non symbolique, l’achat de chiens et de chats sera réalisé en dehors de la légalité, sans puce d’immatriculation, et ils risquent de ne pas bénéficier de soins chez les vétérinaires.

Cette taxe aura également un impact négatif sur les compagnies d’assurance pour les chiens, les chats et les tac.

Utilité des chiens dans la vie quotidienne

Les chiens jouent un rôle essentiel dans divers secteurs de la vie quotidienne :

• Environnement : nos chiens consomment la plupart de nos déchets alimentaires, que nous éviterons de déposer dans le composteur attirant des nuisibles tel que le rat et les risques liés à la maladie du rat ;
• Jardin : interdit aux chats de circuler dans le jardin et de retourner la culture ;
• Sécurité : il(s) assure(nt) la sécurité de l’habitat et de ses propriétaires contre les vols ;
• Santé : Le chien est employé dans le domaine de la santé pour accompagner des individus ayant un handicap visuel, mais aussi pour favoriser des interactions sociales chez les personnes atteintes d’autisme, et bien d’autres encore.

Utilité des chats dans la vie quotidienne

Les chats jouent également un rôle crucial dans différents secteurs :

• Environnement : Les chats peuvent également manger la majorité de nos déchets alimentaires ;
• Nature : Le chat se livre à la chasse de rongeurs, de souris, de rats et bien d’autres êtres vivants ;
• Santé : Le chat est un compagnon, il est considéré comme bénéfique pour soulager le stress. Au Japon, il existe des “bars à chats”.

Voulez-vous remplir les caisses ?

Le déficit de l’État français a été aggravé par le gouvernement d’Emmanuel Macron et de son ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. Il incombe déjà aux dirigeants politiques de passer à la caisse et non en faisant payer la facture au peuple.

Quatre solutions de taxes possibles : ici